Dune, de Frank Herbert, traduction revue et corrigée de Michel Demuth, collection Ailleurs et Demain, aux éditions Robert Laffont.
Dune. Arrakis. Rien qu’à lire/entendre/écrire ces mots, j’ai des images de vers des sables qui me viennent à l’esprit, et les poils qui se dressent. Suivre les Atréïdes dans le monde de l’Impérium, des plans dans les plans, du kanly. Accompagner Paul dans son apprentissage, ses doutes, ses douleurs. Vibrer avec les Fremens. Haïr les Harkonnens.
Je suis un bon public pour ce genre de chose, je l’avoue. Mais j’ai vraiment pris plaisir à relire Dune, même si je le connais presque par cœur. Après avoir revu la version de David Lynch au début de l’été, je suis prêt pour la version de Villeneuve !