Confessions d’un automate mangeur d’opium, de Fabrice Colin et Mathieu Gaborit, chez Bragelonne.
Paris, en 1889. Tout fonctionne à l’éther, ce composant miraculeux, mais aussi très peu connu… Une comédienne et son frère, spécialiste des maladies mentales liées à l’éther enquêtent sur la mort d’une amie de la première…
Je ne suis pas très steampunk, mais cet opus est plutôt réussi.