Le chant de la Tamassee, de Ron Rash, traduit par Isabelle Reinharez, aux éditions du Seuil.
Une fillette est morte sur la Tamassee, et son corps est resté bloqué sous un rocher, d’où on ne peut la déloger. S’engage un bras de fer entre le père et les écologistes locaux. Maggie Lee, photographe de presse originaire du coin, est envoyée pour couvrir l’affaire, en compagnie de son nouveau collègue, un ancien finaliste du Pulitzer un peu énigmatique.
Ron Rash nous fait partager son amour de la Caroline du Sud et de ses habitants, son attachement à la nature inviolée et sauvage.
Il porte également un regard cru sur la nature humaine, sur l’amour parental, l’aveuglement émotionnel, et la rédemption.